Les types de SCPI et leur rendement.
Durant les années soixante, on a pu voir un grand nombre d’investisseurs désireux d’acquérir des parts en SCPI. Avec cette objectif en vue, on a pu voir l’élaboration d’un programme de fonds mutualisés afin d’investir dans des actifs immobiliers. Concrètement, la toute première société civile immobilière a été réalisée en 1964. Ce n’est qu’à partir de 1970 que la législation octroie, de façon officielle, le statut de SCPI sous la surveillance de la Commission des Opérations de Bourse (C.O.B). Au début, on parlait d’un programme confidentiel. En 1996, certains groupes de gestions d’actifs créaient un marché secondaire en balançant les offres des acquéreurs et vendeurs. Deux années plus tard, les SCPI deviennent une solution d’épargne très efficace dans le milieu.
Pourquoi la souscription à une SCPI ?
La SCPI est une plateforme d’investissement en immobilier non coté. Son objectif se trouve dans la constitution d’un portefeuille contenant exclusivement des actifs immobiliers (bureau, commerce…). La société de gestion s’occupe de gérer le parc immobilier et doit avoir l’autorisation de l’autorité des marchés financiers (AMF) afin d’opérer. Si vous souhaitez investir dans une SCPI, il faut acquérir des parts dans une société dont le ticket d’entrée est habituellement de 5000 euros. Dans l’optique d’un investissement à long terme, le type d’épargne devient un facteur considérable. Pour y arriver, vous devez songez aux genres de placements susceptibles d’offrir une rentabilité et un rendement fiable, sans pour autant vous placer dans une position vulnérable. La SCPI répond justement à cette problématique. Il est à noter que l’action d’investir en parts de SCPI vous autorise à profiter d’un rendement moyennant les 4,44%. En outre, avec la mutualisation de l’investissement, les risques de perte sont dilués de par la multitude d’immeubles possédés ainsi qu’un plus grand nombre de locataires. Les SCPI sont réparties sur la plupart des grandes métropoles françaises et européennes.
La sélection d’une SCPI est critique durant la procédure d’investissement. Il est important de tout établir par rapport à l’élaboration de votre portefeuille patrimonial. Vous pouvez investir pour différentes raisons : défiscaliser, préparer sa retraite, générer des revenus additionnels ou encore développer son capital. Dès lors que votre but est fixé, il est alors avisé de faire appel à un conseiller de gestion de patrimoine afin de vous aiguiller dans l’optimisation de votre patrimoine. Un expert en gestion de patrimoine fera une étude poussée et transparente sur les différents types de SCPI. Cela inclut les SCPI de rendement, de plus-value ou de SCPI fiscales. Un conseiller vous dirigera ainsi vers la SCPI qui vous proposera le plus de rendement et plus de rentabilité.
La définition des SCPI
Les Sociétés Civiles de Placement Immobilier, en gros, c’est l’acquisition de parts de sociétés ou d’immobilier professionnel. Il s’agit de groupes de gestion qui s’occupent de l’achat, de la rénovation, de la maintenance et de la mise en location des lieux. Ils se chargent aussi du recouvrement des loyers, de la sélection des locataires et de l’acquisition et la revente des immeubles. À ce titre, un investisseur en parts de SCPI délègue toute responsabilité de gestion. L’action de s’engager dans ce type de placement vous donne l’occasion de percevoir des gains régulièrement, et ce avec un rendement très conséquent. Dans certains cas, il peut même atteindre les 6%. Vous souhaitez en savoir plus sur le sujet ? La présentation de la SCPI de rendement Nord Est Horizon vous intéresse-t-elle ? SCPI-8 se révèle être une bonne source d’information.
Le placement en SCPI reste un placement maîtrisé. L’investissement est aussi transparent dans le contexte où les sociétés de gestion doivent soumettre un rapport annuel et des bulletins trimestriels aux différents associés. Ce placement est également vu comme étant un investissement à long terme car il est avisé de préserver ses parts pendant une durée d’au moins huit années. Le bénéfice de ce dispositif demeure la mutualisation des risques pour les associés. Tel est le cas en effet car le patrimoine est constitué de nombreux actifs immobiliers ainsi qu’une plus grande variété de locataires.